L’or, au service de la nanotechnologie
Hormis son utilisation comme valeur refuge (en prévision d’éventuelles fluctuations économiques) et en bijouterie, le métal jaune serait de plus en plus présent au sein des technologies, plus particulièrement celles des nanoparticules d’or. Surtout que depuis quelques années, les applications dans ce domaine se sont particulièrement développées.
La nanotechnologie… kesako ? La nanotechnologie est définie comme étant “l’ensemble des études et des procédés de fabrication et de manipulation de structures, de dispositifs et de systèmes matériels à l’échelle du nanomètre”. Ainsi, les scientifiques sont amenés à fabriquer des matériaux à une échelle minuscule, relevant d’atomes et de molécules. Le but de cette manœuvre ? Obtenir une technologie innovante et surtout peu coûteuse !
Ce qui fait de l’or, connu pour ses propriétés uniques, un candidat idéal pour être manipulé à cette échelle. En effet, non seulement le précieux métal offre une manipulation plus efficace en termes de potentiel et de rentabilité, mais jouit également d’une résistance et d’une malléabilité hors du commun.
Pas étonnant qu’on ait finit par l’introduire dans différentes domaines (technologies, santé, environnement, aérospatial…)
Le WGC a donc décidé d’investir dans les technologies liées à l’or en privilégiant les domaines de la médecine, des énergies renouvelables et de l’environnement. Le but de cette initiative ? Réduire l’écart entre la commercialisation finale et la recherche financée par le gouvernement.
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