Très peu sensible à l’inflation, l’or offre une alternative idéale aux épargnants qui voient se concrétiser les pires scénarios des sévères chutes boursières et des crises financières de plus en plus aggravées.
En fonction de votre budget, il est possible de vous constituer un petit capital d’or physique. Le prix du lingot frôle les 35 000 euros en ce moment (37 880 euros), mais les petits budgets peuvent aussi faire leurs achats à leur rythme avec une pièce de collection (le napoléon est par exemple à 223,90 euros).
La réponse s’impose de plus en plus à la plupart des experts et investisseurs (professionnels et particuliers) ; l’or affiche, depuis la fin de l’année 2015, une bien meilleure performance que le dollar ou même les autres métaux précieux. Au début des années 70, lorsque la relique barbare a été déconnectée de la devise américaine, certains économistes avaient enchaîné les spéculations les plus catastrophiques (allant jusqu’à prévoir un cours plafonné à 35 dollars l’once).
Les deux valeurs ont toutefois évolué dans le sens contraire à ces prévisions ; le dollar est devenu de plus en plus volatile et fluctuant (en dépit des efforts répétitifs de la FED pour le renforcer), et l’or s’est graduellement imposé comme la plus solide valeur refuge des marchés (en dépit des phases occasionnelles de stagnation).
Dans tous les cas, l’or physique n’a pas pris une seule ride depuis près d’un siècle, les amateurs de bijoux, lingots et pièces d’or maintenant la demande mondiale à un niveau qui met même la production à mal, actuellement. Sur le premier semestre de l’année 2016 seul, l’or affiche une évolution de l’ordre de +29% !
Sur le marché des métaux précieux, l’or demeure aussi le champion toutes catégories. Outre sa rareté grandissante qui en fait un métal plus ‘précieux’ que ses camarades, l’or est également (là encore) un meilleur performeur. Les experts rappellent en effet que, actuellement, « il faut entre 60 et 80 unités d’argent pour la même unité d’or ». L’argent a pourtant réussi à effectuer un important rebond, depuis la fin de l’année dernière, mais le métal jaune garde une longueur d’avance, maintenu au sommet par le boost constant de sa valeur refuge, dans un contexte de crise perpétuelle.
Mieux encore ; face aux platinoïdes, l’or ne bronche pas non plus. Le platine avait pourtant été longtemps perçu comme le métal coté le plus cher, mais se retrouve aujourd’hui rattrapé (en l’espace de quelques décennies) par le métal jaune. Son utilisation est désormais très limitée (secteurs de l’industrie automobile, en tant que dépolluant de moins en moins crédible). Mais c’est, surtout et à nouveau, sur le plan de la valeur refuge que l’or bat le platine à plate couture, ce dernier étant dépourvu de toute valeur autre que purement industrielle.
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