Rappelons en effet que lorsque ces taux se situent en terrain négatif, la conservation de l’argent nécessite alors d’importants frais. Dans ce contexte, le prix de l’once va automatiquement grimper, en compensation de ces frais. Selon les experts des marchés des métaux précieux, « avec 10 000 milliards de dollars d’or actuellement dans les stocks, le prix de la facture suite à des taux négatifs va se répercuter directement sur le prix de l’or ».
L’appétit des banques centrales pour le métal jaune arrive en deuxième marche du podium, puisque l’intérêt de ces institutions n’a pas cessé de croître, tout au long du dernier demi-siècle. Pour les principales banques centrales mondiales, l’or représente la meilleure diversification de leurs acquisitions, ainsi qu’une garantie en cas de crise sévère et donc une valeur refuge à conserver.
Il faut enfin citer la rareté croissante de l’or, tant au niveau de la disponibilité (ressources) que de la production (minière). Peu d’or est aujourd’hui en circulation, dans la mesure où les détenteurs de métal jaune physique (bijoux, pièces, lingots…) tendent à le garder, de génération en génération.
Côté production minière, il semblerait que les filons miniers se fassent de plus en plus rares, créant un déséquilibre entre offre et demande. Ce décalage a pour effet de booster les prix du marché aurifère.
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