C’est ainsi que la banque centrale russe s’est vue obligée de réagir en urgence, diversifiant ses actifs en remplaçant le billet vert par l’or. D’après le ministère russe des finances, « le volume d’achat d’or entre janvier et avril (2016) par Moscou était un peu inférieur au volume d’or extrait dans les mines du pays, à 67 tonnes, au cours de la même période ». L’officiel a expliqué que « ce volume est plus élevé de 7% sur celui de l’an passé».
Les observateurs rapportent en effet que les réserves des devises étrangères de Pékin (sur le premier semestre 2016) ont enregistré un repli de 25% (par rapport à leur plus haut atteint en 2015), même si leur total demeure le plus important sur le plan mondial. Du coup, et avec le yuan chinois fortement déprécié, la Chine s’est vue obligée de diversifier ses actifs, à son tour. Quant au Venezuela, le gouvernement a finalement pu tester concrètement le ‘refuge’ offert par la valeur de l’or, puisque le gouvernement a récemment procédé à la réduction de ses réserves en or, en contrepartie de liquidités massives destinées à soutenir l’économie stagnante du pays.
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