L’équipe de scientifique affirme que « dans cet état chimique appelé ‘supercritique’, elle (l’eau) devient 1.000 fois plus oxydante et corrosive que dans son état liquide ». La haute concentration acide de l’eau ainsi obtenue détruit la résine polymère et la fibre de verre dont sont faites les cartes contenant les métaux précieux. Les métaux récupérés grâce à ce procédé (déjà adopté dans le retraitement des déchets nucléaires), sont ainsi ré-utilisés dans l’industrie électronique.
Les chercheurs ont annoncé qu’un projet pilote qui « permettrait d’économiser de l’argent et de compenser le coût encore élevé de la technologie » est déjà « en cours de mise à l’échelle industrielle ».
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