Entre inquiétude autour d’un nouveau coup de relèvement des taux en mars et confiance en l’aptitude de l’institution à se plier aux besoins des marchés, les opérateurs se retrouvent à nouveau dans une position d’incertitude et de doute. Les experts s’attendaient majoritairement à ce que le communiqué du FOMC diffuse l’incertitude, dans la mesure où il est lui-même issu d’un dilemme particulièrement pesant. La veille de la réunion, les observateurs soulignaient en effet que « la banque centrale se retrouve face à une situation de marché (volatilité et craintes) proche de celle du mois de septembre », mettant également l’accent sur les difficultés de communication que la FED allait rencontrer, durant cette période de grande volatilité. Toutefois, certains analystes, dont ceux d’Aurel BGC, rappelaient aussi que « par quelques mots bien choisis insérés dans leur communiqué, les banquiers centraux pourraient faire passer un message plus prudent, en soulignant les incertitudes sur la demande extérieure et la récente volatilité des marchés ».
A l’évidence, et bien qu’elle se soit bravement essayé à cet exercice de communication périlleux, l’institution a échoué ; les marchés sont déçus, nerveux et déstabilisés.
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