Et c’est d’ailleurs l’ensemble des marchés des métaux précieux qui pâtit actuellement de ce rebond du dollar américain, un impact toutefois prévisible dans la mesure où « cette classe d’actifs est historiquement corrélée négativement au billet vert ».
Mais le facteur central de cette vague correctionnelle demeure l’incapacité du métal jaune à profiter d’une conjoncture géopolitique en pleine crise et donc largement favorable à son évolution haussière. Rappelons en effet que le marché aurifère avait grandement bénéficié « de la crise en Crimée en février pour rallier jusqu’à 1 390 dollars durant le premier trimestre ». Pourtant, durant les dernières semaines qui ont marqué le retour de la crise dans la région, « aucune dégradation du sentiment du risque sur les marchés actions américains n’a été constatée », dans un marché d’investissement soutenu par des opérateurs US convaincus que le spectre de la crise géopolitique n’étendra pas ses tensions baissières jusqu’aux places boursières US.
En tout cas, le métal jaune a repris du service, depuis la fin de la séance de vendredi, conquérant le palier des 1 300 dollars et partant à l’assaut des 1 310 dollars.
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