L’or dans le jeu des pouvoirs internationaux

Entre théorie du complot et simple réalité politique, difficile de distinguer la vérité, toute la vérité, et rien que la vérité sur les coulisses des pouvoirs qui tentent de s’arracher l’or mondial. En tout cas, pour les professionnels aguerris, une chose est sûre ; la relique barbare détient tous les attraits économiques et financiers pour devenir le nouveau « standard de paiement » mondial, mais aussi tous les attraits politiques pour être l’un des plus importants moyens de pression officiels et officieux. Dans son livre « Le retour au standard or » (paru en 2011), le professeur Antal Fekte affirme que l’importance de l’or dans la balance des pouvoirs mondiaux passés et contemporains réside -non pas dans sa rareté- mais bien au contraire dans sa disponibilité relative. Un renouveau de ressources qui explique, entre autres motifs, la crédibilité et la solidité de son statut sur les marchés internationaux. Et ce statut ne peut, en aucun cas, être altéré ni par une augmentation de la production minière, ni par le retrait occasionnel et exceptionnel des pièces et lingots du marché. Des moyens de pression manifestement utilisés par les mondialistes pour manipuler les marchés à leur guise, usant de la meilleure carte qui soit ; le métal jaune. Le professeur Fekte rappelle également que ces mêmes acteurs clés de la géopolitique mondiale voudraient éviter à tout prix que l’or soit considéré comme la seule valeur refuge, puisque « le dollar et l’euro doivent à tout prix rester des monnaies fortes ».

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