La principale cause à l’origine de la baisse considérable du prix de l’or demeure le discours pour le moins surprenant de Ben Bernanke, président de la réserve fédérale américaine. Surprenant par son silence, surtout. Les experts d’ING déclaraient, en début de semaine, que « le dernier discours de Ben Bernanke sur le Livre beige de la Fed a surpris certains investisseurs par le manque de référence explicite au QE3, tout en minimisant les risques immédiats d’inflation ». Du coup, bon nombre d’investisseurs spéculatifs récemment introduits ont été conduits à ressortir du marché.
De plus, le volet de la création d’emplois aux Etats-Unis a connu, durant le mois de février, un rebond significatif ce qui a eu pour effet de consolider la pression baissière exercée récemment sur la relique barbare. La logique de cette déduction prend racine dans le lien direct entre ce rebond des chiffres de l’emploi et la probabilité ainsi automatiquement réduite du lancement d’un QE3.
Mais la reprise déjà anticipée du métal jaune s’appuie essentiellement sur les nouvelles opérations monétaires dilutives de la part des banques centrales. Sans compter la demande mondiale émergente du métal jaune, dont la Chine et l’Inde sont les principaux leaders.
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