Ainsi, le discours plutôt optimiste de Ben Bernanke semble avoir déçu plusieurs investisseurs qui espéraient un nouveau plan de mesures d’assouplissement quantitatif (Quantitative easing : QE). Ces espérances n’étant pas exaucées, la pression exercée sur le dollar s’est considérablement réduite.
En outre, l’absence probable d’un QE 3 joue indéniablement contre les prix des actifs réels (or et pétrole par exemple). Il s’en est suivi un flux massif de vente d’or qui s’est conclu mercredi vers les 1.706/1708 dollars alors que pendant la matinée l’once était au dessus de la barre des 1.790 dollars.
D’après Triland, si le seuil des 1.708 dollars cède, une nouvelle baisse de 50 à 100 dollars serait envisageable.
Morgan Stanley a déclaré son intention de miser sur la demande Chinoise et Indienne pour atteindre l’objectif des 1.845 dollars en moyenne pour l’année 2012 (l’équivalent d’une hausse de 18% par rapport au prix de fin 2011). Il a également précisé qu’il faudrait également miser sur la reconstitution des réserves par les banques centrales notamment dans les pays émergeants.
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