• Petit cours d’histoire
N’étant plus imposés pour garantir les dettes émises, les stocks de métal jaune avaient donc considérablement perdu, durant quarante ans, de leur aspect « stratégique », poussant les instituts d’émission à les réduire de manière significative.
S’en sont suivis des accords de Washington (en 1999) qui consistaient à imposer des quotas à 400 tonnes aux banques centrales européennes, et dont le but était de prévenir les cessions aussi brusques qu’imprévisibles susceptibles de causer une dépression conséquente du cours du précieux métal.
• 2009 – 2010 : Les années qui changent la donne
Au lendemain de l’une des pires crises économiques que le monde ait jamais connu, l’or regagne ses galons de valeur-refuge, et les instituts d’émission cessent d’être exclusivement vendeurs d’or pour acquérir, en 2010, près de 100 tonnes d’or, en net.
Du coup, les banques centrales suivent le mouvement et ne tardent pas à leur tour à se prémunir ; au troisième trimestre 2011, elles ont acquis un total de 148,4 tonnes d’or (contre 22,6 tonnes achetées l’année dernière sur le même intervalle de temps).
L'audace des jeunes entrepreneurs de 2024 se pare d'éclats dorés ; mais quelle est donc…
Alors que les certitudes économiques vacillent, découvrez comment les Français transforment le métal précieux en…
Quand les chiffres parlent d'eux-mêmes, ils révèlent souvent des secrets fascinants. Le marché français de…
L'aube de l'incertitude a couvé un renouveau, celui de l'éclat éternel de l'or chez les…
Dans cette lettre mensuelle, vous trouverez un point sur la performance de l’or ainsi que…
L'or scintille à nouveau sur le marché, mais qui sont ceux qui luisent d’ambition pour…